DYNOTROP

DYNamique des Oceans TROPicaux

Présentation de l’équipe

L’équipe comporte 16 membres permanents, dont 11 chercheurs et 5 ingénieurs.

Elle compte à ce jour 8 thésitifs et 6 postdoctorants.

2 chercheurs de l’équipe sont actuellement affectés au Brésil, et deux chercheurs sont affectés en Nouvelle-Calédonie.

Chantiers géographiques

Les membres de l’équipe travaillent sur de nombreux chantiers.

Dans le Pacifique Tropical, les régions d’étude sont le Pacifique Sud-Ouest et le système de courants de bord Ouest de la Mer des Salomon, la région frontale au nord de la langue d’eaux froides équatoriale, et le Pacifique Tropical Nord-Est, zone de génération des cyclones tropicaux.

Dans l’Atlantique tropical, les régions d’étude sont le panache de l’Amazone, et le système de bord ouest au large du Brésil ; la langue d’eaux froides de l’upwelling équatorial et le Golfe de Guinée, régions clefs pour le climat africain, l’upwelling du Benguela, et le phénomène « Benguela Nino », la Mer des Caraïbes et le Golfe du Mexique, où les structures complexes de méso et submésoechelle interagissent

Des recherches sont aussi menées dans l’océan Indien, dans le Golfe du Bengale.

Les outils de recherche

Nos recherches s’appuient sur un vaste panel d’outils, incluant la modélisation numérique, la collecte de données in situ et l’analyse de données in-situ et satellite.

L’équipe est fortement impliquée dans le pilotage et la gestion de systèmes d’observations in situ (leadership pour les Service Nationaux d’Observation SNO PIRATA, SNO SSS), et dans les projets d’observations internationaux (TPOS2020, TAOS). Elle est utilisatrice et productrice de données in situ (organisations de campagnes océanographiques, déploiement de gliders, de mouillages, de flotteurs Argo, de drifters).

Les membres de l’équipe exploitent aussi les données satellites (satellites altimétriques Jason, AltiKa, Sentinel-3, satellites couleur de l’eau MODIS, etc…) et sont impliqués dans la définition et l’utilisation de missions satellites, comme SMOS, SWOT et STREAM.

En termes de modélisation, les chercheurs utilisent et mettent en place des simulations numériques avec des modèles océaniques communautaires (NEMO, CROCO, SCHISM), atmosphériques (modèle simple « maison » DREAM), couplées OA (WRF, SIMBAD), et couplées physique-biogéochimie (PISCES, BIO-EBUS). L’équipe met en place pour ses besoins des simulations régionales, et développe des outils de modélisation numérique des connexions hydrodynamiques entre l’embouchure des rivières et l’océan tropical.


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