Pour toute utilisation des données
Merci de citer les sources et les auteurs, et de nous faire part des résultats des travaux dans lesquels les données sont utilisées :
- pour les données du réseau ROSAME : Service d’Observation ROSAME, LEGOS/OMP, 14 Avenue Edouard Belin, 31400 Toulouse, France;
- pour les données du marégraphe de Sao Tomé : contacter Jérôme Llido, responsable du Service d’Observation PIRATA.
Après traitement, les données temps réel des marégraphes côtiers du réseau ROSAME et de Sao Tomé sont régulièrement mises à jour et en libre accès sur le site FTP anonyme du LEGOS (en interne sur /data/soa/niveau_mer).
La visualisation du suivi temps réel des mesures est accessible sur le site web du LEGOS. Des indicateurs qualité (distribution temporelle, suivi des références), mis à jour chaque mois, sont également disponibles sur le site web du LEGOS et permettent de suivre, sur le long terme, l’évolution de la qualité des données temps réel et temps différé reçues.
Au niveau national
Les données du niveau de la mer du réseau ROSAME sont récupérées par le SISMER (Systèmes d’Informations Scientifiques pour la Mer), ainsi que par le SONEL (Système d’Observation du Niveau des Eaux Littorales). Les données du marégraphe de Sao Tomé sont récupérées par PIRATA. Les données sont disponibles auprès de ces différents sites.
Au niveau international
Les données du niveau de la mer du réseau ROSAME et de Sao Tomé sont récupérées quotidiennement par l’ODINAfrica (Système régional d’échange de données et d’informations marines et côtières en Afrique) dans le cadre de la Commission Océanographique Intergouvernementale de l’UNESCO. Les données du marégraphe de Sao Tomé sont récupérées par l’Institut National de Météorologie de Sao Tomé.
Les données du niveau de la mer du réseau ROSAME et de Sao Tomé sont envoyées tous les mois pour archivage et libre accès à l’UHSLC (Centre du niveau de la mer de l’Université de Hawaii), dans le cadre du Programme de surveillance globale du niveau de la mer GLOSS. De même, elles sont librement accessibles au BODC (Centre de données océanographique britannique).
